Le challenge du NaNoWriMo - Day 4
Bon, je sais.
Mais en même temps, je vous avais prévenu.
J’ai divergé.
Un peu.
Beaucoup.
Passionnément.
A la folie.
Pas du tout.
J’ai juste décidé de m’attribuer, et par là à vous aussi, une petite pause littéraire et intellectuelle.
Je vais vous expliquer pourquoi.
Parce que je n’avais plus d’inspiration.
Maintenant, je vais vous expliquer comment.
Sous la douche.
J’étais là, nu, en train de savonner mon corps d’athlète, que la lumière de l’ampoule mettait en valeur en passant à travers les gouttes qui se formaient dessus.
L’une d’elle avait même décidé de se laisser glisser entre mes puissants pectoraux, de faire un petit détour sur mes abdominaux afin de finir sur mes fesses musclées.
Je réfléchissais à une nouvelle façon de théoriser l’énergie nécessaire pour traverse la réalité alternative créée par la distorsion quantique et qui séparait l’espace-temps de ma serviette.
Quand soudain, tout à coup, l’idée m’est apparue aussi clairement que si une ampoule s’était allumée au-dessus de ma tête.
Ce qui était plus ou moins le cas.
Je vais écrire le livre dont je faiss mention dans mon premier livre, « Victor LADOU, sa vie, mon œuvre », disponible au format Kindle pour la modique somme de 0,99 euros (gratuit pour les abonnés Kindle Unlimited).
Alors le voici.
Enjoy, sauf si vous êtes parisiens, marseillais ou pire, bordelais…
Dans tous les cas, soyez maudits !
PS : afin de ne pas froisser la communauté gay, aucune mention, ou très peu, sera faite concernant ce sport de pédérastres nommé « football »…
Et l'ouvrage en question se nomme :
Voilà, je viens d’en finir une première partie.
Je la complèterai plus tard tant le sujet est vaste et complexe.
Je pense même avoir retrouvé l’inspiration.
Et je vais écrire une aventure d’héroïc-fantasy aux couleurs locales.
Oui, je sens déjà les idées fusées en moi, tel le réceptacle qui reçoit pleins de trucs que l’on met dans les réceptacles.
Alors accrochez vous bien, et surtout, soyez maudits.
« Dans les temps anciens, un noble et preux chevalier tarnais avait décidé d’aller courir l’aventure ?
Mais il ne savait pas ce qui l’attendait.
Le pauvre.
Il croisa un homme qui le regardait de manière hautaine et méprisante.
Ne connaissant ni la peur, ni le doute, et possédant un sens du mépris vis-à-vis des étrangers bien supérieur à ce gros con, il s’approcha de l’horrible individu.
« Hé connard, tu vas l’acheter mon sandwich jambon-beurre ! »
Ne comprenant pas le sens des parole ni de l’énigme posée par cette vile créature, le tarnais se saisit alors de son épée et lui trancha la tête.
Une fois le problème réglé, il put continuer tranquillement sa route.
Il croisa alors un homme habillé en bleu, dont le pantalon s’arrêtait un peu au dessus des genoux, et qui jetait des boules rondes un peu n’importe comment en tenant un récipient contenant un étrange liquide à la douce odeur anisé.
« Ô coquin de sort ! Tu la tires ou tu la pointes espèce de fada. Té! »
Devant ce choix ô combien cornélien, le tarnais opta pour la seule solution qui pouvait lui sauver la vie.
Il se saisit de son épée et lui fendit le cœur, à ce sombre bouffon azuréen.
Enfin, le tarnais croisa un bordelais.
Lassé et préférant agir le plus vite possible, il tira son épée et sans hésiter, l’occis par le fer et l’acier.
Et l’histoire lui a donné raison.
Pourquoi ?
Parce que c’était lui le vainqueur, tout simplement.
Alors, fatigué, rompu, il rentra chez lui et raconta son aventure qui se transmet depuis de génération en génération… »
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