Le challenge du NaNoWriMo - Day 22

Aujourd'hui, je vais commencer par parler d'hier.

Hier donc, j'ai écrit ma prochaine histoire courte pour les Cosmlc Twins Bastards.

Cela fait un bien fou que de pouvoir faire une pause durant le challenge du NaNoWriMo.

En quoi était-ce une pause?

Parce que je n'étais pas tenu par un quelconque obligation de quantité (1666 mots 2/3 par jour pour rappel), mais j'ai pu faire un semblant de qualité.

Alors, j'ai passé l'étape écriture papier et retranscription sur ordinateur.

Je vais pouvoir attaquer la partie correction et amélioration.

Pour information, je n'ai écrit QUE 800 mots. Mais j'ai énormément senti l'influence du NaNoWriMo dans la construction à rallonge de certaines phrases.

Donc, un joli travail est à prévoir avant de pouvoir le publier, même si je garde espoir de pouvoir le faire ce weekend, ou le prochain (cela dépendra de l'état d'avancement du texte de Caro).

Voilà, c'est tout.

L'histoire du jour : un roman de cape et d'épée. Avec des capes et des épées.

L'action se situe à l'époque où les gens se battaient avec des capes et des épées.

Chapitre un : la trahison

" - Arrête-toi Lamartine ! Et prépare-toi à mourir!

- Comment Lamonique!? Tu veux me trahir?! Ta trahison envers moi ne m'étonne pas. Penses-tu pouvoir m'occire, moi, Lamartine, le soldat préféré de notre bon roi?

- Seul non. Je n'ai jamais dit que j'étais seul Lamartine. Venez à moi mes fidèles amis.

- Lasabine! Je n'aurai jamais cru cela de toi.

- Oui Lamartine, c'est moi Lasabine. Je suis amoureux de la belle Isabelle qui est amoureuse de toi. Une fois mort, je pourrais l'épouser.

- Lasabine, espèce de traitre qui me trahit par amour. Mais la belle Isabelle préfèrera mourir que de devoir t'épouser. Oh, et toi aussi Larousso.

- Oui Lamartine, c'est moi Larousso. Lamonique m'a promis ton domaine en échange de ma trahison envers toi. Et puis une fois mort, tu m'oublieras...

- Et toi mon petit Lamadelonvientnousserviraboire. Je n'aurai jamais cru cela de toi, toi que j'ai pourtant sauvé la vie à plusieurs reprises.

- Oui Lamartine, je sais. Mais je n'avais rien prévu pour ce soir alors quand on m'a proposé de te trahir, je me suis dit pourquoi pas. Surtout que tu ne m'as toujours pas rendu mon CD de Céline DION.

- Comment ose tu prétendre que moi, Lamartine, j'ai osé t'emprunter un CD de Céline DION et de ne pas te le rendre. N'as-tu donc point d'honneur Lamadelonvientnousserviraboire?

- Si Lamartine. Je vais mettre un point d'honneur à te tuer!"

La bataille commence avec des coups d'estocs et de taille, qui taillent les capes avec les épées.

Si je savais écrire des scènes de batailles, je le ferai tant celle-ci mériterais d'être décrite.

Grosso modo Lamartine tient tête à ses quatre assaillants avec des feintes, des pointes, et pleins de trucs que l'on apprends quand on fait de la cape et de l'épée.

Mais il finit par être submergé par le surnombre numérique et s'écrit avant d'être poussé du haut de la falaise le corps transpercé par les lames des traitres (oui, les combats de cape et d'épée se passent soit en haut d'une falaise, soit haut pied d'un escalier).

"- Oh non, je meurs transpercé par la pointe de vos épées acérées. Bande de lâches! S'en prendre à un homme seul alors que vous êtes quatre fois plus nombreux que moi. Et maintenant que vois-je? Que vous poussez mon corps encore vivant du haut de la falaise. Oh non, je chois. AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH!"

Suivi par un plouf bien caractéristique du corps qui tombe du haut d'une falaise dans l'étendue d'eau se trouvant au pied de ladite falaise.

"Ah, il est mort mes amis. Venez, et rentrons vite avant que l'on ne soit soupçonnés de sa disparition."

Et les vilains traitres remirent leurs épées au fourreau et rentrèrent à cheval au château.

Tout est bien qui finit bien.

Et non, parce que Lamartine a survécu à sa chute et est bien décidé à revenir se venger des horribles malotrus qui ont essayé de l'assassiner.

Chapitre 2 : la vengeance

L'action se déroule 3 mois plus tard, toujours à l'époque des capes et des épées.

Lamartine s'est bien rétabli de ses blessures (même si 3 mois pour guérir de quelques éraflures et d'un plongeon dans l'eau froide, ce n'est pas super viril tout de même).

Camouflé sous un costume de bossu, Lamartine se rend à la demeure de sa belle afin de lui dire qu'il est toujours vivant et qu'il l'aime passionnément et autres conneries du genre que l'on voit souvent dans les romans de cape et d'épée.

Mais il aperçoit alors Larousso en train de flirter outrageusement avec sa belle. Il se dirige vers lui et engage la conversation:

"- Ne voyez-vous pas que vous importunez cette dame mon bon monsieur.

-        Tais-toi le bossu, et laisse-moi donc flirter avec cette belle dont tu es trop laid pour avoir le droit ne serait-ce que de poser le regard dessus.

-        M. Larousso, laissez-moi tranquille, je me remets à peine de la disparition de l'être que j'aimais et que l'on nommait Lamartine. Je garde espoir de le revoir.

-        Mais puisque je vous dis qu'il est mort.

-        Comment pouvez-vous le savoir.

-        Mais parce que…

-        Parce que vous l'avez tué, dis le bossu qui était Lamartine mais que personne n'avez reconnu.

-        Tais-toi le bossu, et prépares toi à mourir pour avoir diffamé mon nom.

-        Non je ne mourais. Parce que je suis Lamartine et que je vais vous tuer.

-        Oh lala, quel retournement de situation. Moi qui pensais que vous étiez mort, dit la belle Isabelle.

-        Moi aussi, dit Larousso. Eh bien, battons-nous à mort."

Bon, comme entre ces deux chapitres, je n'ai toujours pas appris à écrire des scènes de combats, je vais vous raconter que Lamartine utilisa sa botte secrète et tua Larousso.

Et comme je commence à m'ennuyer aussi, il a tué dans la foulée Lamonique et Lasabine qui s'était accoquinés pour lui nuire.

Chapitre 3 : révélations

Lamartine se dirige vers le château de Lamadelonvientnousserviraboire pour le tuer, parce que la vengeance est un plat qui se mange froid et qu'il avait assez laissé refroidir le plat comme ça.

« Toi voilà immonde traitre que tu es Lamadelonvientnousserviraboire.

-        Lamartine. Je vois que les rumeurs de ta non-mort étaient vraies et totalement fondées. Je présume que c’est toi qui a occis les trois autres.

-        - Tu présumes bien Lamadelonvientnousserviraboire ? Voyons si tu ne présumes pas trop de tes forces, espèce de lâche.

-        Je ne suis pas lâche. Je suis ton père Lamartine.

-        Comment oses tu Lamadelonvientnousserviraboire tenir de tels propos diffamatoires.

-        Cela aurait pu marcher Lamartine. Et puis, qu’est-ce qu’il te dit que ce n’est pas vrai.

-        Tu es plus jeune que moi pourceau pour commencer. Et j’ai très bien connu mon père, presqu’autant que ce dernier a connu ta mère.

-        Coment, nous serions donc frères.

-        - Oui, et c’est pourquoi je ne t’ai jamais rendu ton Cd de Céline DION.

-        Me pardonneras-tu d’avoir essayé de te tuer.

-        Non. »

Et c’est ainsi que Lamartine tua celui qu’il considérait comme un traitre à défaut de pouvoir le considérer comme son frère, le bien nommé Lamadelonvientnousserviraboire.

Il pleura un peu sur sa mort car c’était son frère tout de même et le fait d’en être l’assassin n’empêche pas d’avoir une âme sensible et d’être triste d’avoir tranché les liens du sang en même temps que la tête de Lamadelonvientnousserviraboire.

Soudain, la tenture s’ouvrit et de derrière sortit le cardinal de Pauvreendroit.

« - Alors Lamartine, tu es tombé dans le piège que je t’avais tendu. Tu as tué les quatre « traitres » que j’avais envoyé te tuer en leur disant que c’était toi le traitre alors qu’en fait, c’était moi, le traitre. Et maintenant, je vais te tuer. Car oui, c’est moi qui avait volé le CD de Céline DION de ton frère Lamadelonvientnousserviraboire. Hahahahahaha, je suis diabolique !

-        Oui tu es diabolique et je te maudits, toi qui a poussé des amis et des frères à s’entretuer. Mais que cache tu derrière ta cape ?

-        Une épée pour te tuer.

-        Mais pourquoi donc ?

-        Parce que Lamartine, je suis amoureux de toi depuis toujours. Et toi, tu as toujours refusé mes avances.

-        Moi aussi cardinal de Pauvreendroit.

-        C’est vrai. Tu m’aimes alors Lamartine.

-        Evidemment cardinal de Pauvreendroit. Viens que je t’embrasse. »

Utilsant cette vieille ruse, Lamartine, homophobe de son étatt comme il était d’usage en ces temps bénis de cape et d’épée transperça la cape du vil cardinal Pauvreendroit de son épée.

Puis, il partit retrouver l’amour de sa vie, la belle Isabelle. Il grimpa sur son cheval, ouvrit le lecteur CD-ROM et y inséra le CD de Céline DION qu’il gardait toujours de vers lui.

Voilà mon histoire de cape et d’épée, écrite de bric-et-de-broc en quatrième vitesse.

Je vous promets de la retravailler, ne serait-ce que la partie sur la mort de Lamonique et de Lasabine, ainsi que sur le fil conducteur qui est, vous l’aurez compris ce fameux CD de Céline DION.

Je n’aime pas Céline DION mais je n’ai pas trouvé d’artiste tout pourrie dont on aurait honte d’avouer avoir le CD.

J’ai pas mal hésité avec David GUETTA, des boys-band et le dernier CD de Patrick Sébastien, mais là c’était un hommage parce que j’adore Patrick Sébastien.

D’ailleurs, je suis un super imitateur, et je vous le prouve de suite.

Attention, imitation :

Jacques CHIRAC : « Bonjour, je suis Jacques CHIRAC. »

François HOLLAND : « Bonjour, je suis François HOLLAND. »

Impressionnant, non ? On dirait presque les vrais.

Attendez, je n’ai pas fini.

Céline DION : « My heart will go on ! »

David GUETTA : « Merde, j’arrive pas à brancher ma cle USB. »

Patrick SEBASTIEN : «  C’est que de l’amour. »

Ouais, je sais, je suis super doué pour Patrick SEBASTIEN.

Je sais aussi parfaitement imiter Johnny « Que je t’aime ! », Lara FABIAN « Je t’aime ! » ou Julien LEPERS « Ah que je l’aime ce jeu !!! »

Voilà.

C’est tout pour aujourd’hui.

A demain, et n’oubliez pas : soyez maudits !